Ep. 64 – Debriefing du Cabinet des Curiosités avec Alexe Martel et Charles Davignon!

Dans cet épisode captivant de Scotch et Domination Mondiale, Olivier Lambert reçoit Alexandre Martel et Charles D'Avignon pour une discussion exclusive sur le Cabinet des Curiosités, un projet ambitieux et innovant qui a secoué la francophonie entrepreneuriale.

Découvrez comment une centaine d’infopreneurs se sont rassemblés pour créer une collection unique de 117 petits produits numériques, représentant une valeur totale de plus de 8 000 $ offerts à seulement 299 $. Ce lancement audacieux, où chaque participant était aussi affilié, a généré des résultats impressionnants : 350 000 $ de ventes et des centaines de leads qualifiés pour les contributeurs.

Alex et Charles dévoilent les coulisses de cette opération massive, partageant les stratégies de lancement, les outils technologiques utilisés, et les défis rencontrés. Vous apprendrez comment des affiliés avec de petites communautés ont réussi à générer des ventes étonnantes grâce à des techniques de vente ingénieuses et comment anticiper – et surmonter – les objections les plus fréquentes.

On explore aussi les impacts du projet sur les participants, qu’il s’agisse de bâtir des relations solides, de découvrir de nouveaux outils ou de propulser leur notoriété. Enfin, ne manquez pas les anecdotes et le retour d'expérience sur l'importance d'un marketing bien structuré et collaboratif, le tout entrecoupé de moments d'humour et de spontanéité.

Que vous soyez entrepreneur, créateur de contenu ou simplement curieux d’apprendre les rouages d’un lancement réussi, cet épisode vous offrira une foule d’idées et d'inspiration. Bonne écoute!

Transcription

[00:00:00] Olivier Lambert: Bonjour et bienvenue dans le e épisode de scotch et domination mondiale. Dans cet épisode, je sois nul autre qu'alexandre martel et Charles d'avignon deux ji de la tranchée. Dans ce podcast, on va discuter du cabinet de curiosité, un projet qui ont lancé à qui ont fait l'année passée ou ils ont demandé à une centaine d'info preneurs de tous contribuer un petit produit d'une valeur d'environ 100 pour ensuite les regrouper ensemble dans un bandeau qui ont vendu à 299.

Au final, ils y ont eu 117 produits avec une valeur moyenne de 72. Donc on parle de. Huit 424 de valeur pour 299. Donc c'est une promotion excessivement intéressante. Si vous l'avez manqué, je suis vraiment désolé pour vous parce que vous pouvez plus vous inscrire là. It too late peut être que ça va revenir.

On en discute dans le podcast peut être pas personnellement. J'ai contribué ma formation sur bitcoin, que je constate un petit peu comme un chef d'œuvre là, je suis quand même assez fière de cette formation. Là, ça m'a fait plaisir de la faire découvrir à des gens qui n'avaient pas nécessairement acheté une formation en ligne sur bitcoin.

L'audience était assez large, puis on en parle aussi dans cette conversation. Bref, dans le podcast, on va discuter la stratégie de lancement parce que tous les gens qui offrent un produit étaient également affiliés avec une commission, bien sûr, sur les ventes. Donc on parle des chiffres. Combien est ce qui ont généré à quoi est ce que ça ressemble à la distribution des ventes à travers le lancement?

Bref. On parle de tout ça. Et Alex nous a dit collecter quand même assez surprise de voir des très petits affiliés générer d'énormes commissions. Et elle partage des techniques que ces gens là ont implémenté pour être capables d'avoir des ventes disproportionnées en fonction de la taille de leur alliance.

Donc ça, c'est définitivement très intéressant. Et juste pour ça que je pense que ça vaut la peine d'écouter notre conversation. Ensuite, on s'intéresse aux objections et aux arguments de vente que Alex et Charles ont anticipé. Il y avait monté un espèce de méga document super bien rempli, ou il y avait énormément de documentation de prévu à des ressources pour aider les gens les affilier à bien vendre et faire la promotion du cabinet des curiosités.

Et à l'intérieur de ça, il y avait des styles de courriels, des visuels pour les publicités à énormément d'organisation et dans notre conversation à partage, qu'est ce qui a bien fonctionné là dedans versus qu'est ce qui a mêlé les gens et qui ultimement lui au lancement? Et je parle mêler les gens, non seulement les af fini, mais également les clients au final.

Donc on parle de stratégies deante à de gestion des objections. Ce genre de choses là. Et finalement, il y a également eu un d'escorte pour le cabinet des curiosité qui a été très, très apprécié par les gens. Ça super bien fonctionné. On discute des nouveaux té d'escoles qui ont permis de rendre tout ça possible.

Je vous souhaite à une bonne écoute et si tu veux que je fasse plus de podcast en 2025 va donc laisser une petite évaluation sur iTunes. Ça fait longtemps que j'en ai perçu, je pense, ça fait deux ans depuis la la dernière évaluation. Donc, pour être certain de ne pas manquer les épisodes parce que je ne fais pas des épisodes à toutes les semaines.

Donc c'est sûr que quand j'en sors un nouveau, probablement que tu ne vas pas devoir passer. Donc c'est super important d'aller t'abonner au podcast. Tu peux faire ça sur youtube sur pas ou encore sur ton bon vieux lecteur de podcasting vintage préféré. Petite mention importante dans cette conversation, je suis assez protectionniste à.

Sais donc y une imperfection dans le podcast et ça me dérange faut que j'en parle. J'ai testé un nouvel algorithm de réduction de bruit qui utilise une technologie d'intelligence artificielle pour que le son des micros soit meilleur au studio. Malheureusement, le plug in ne fonctionne pas très bien dans un contexte ou on a trois personnes autour d'une table qui utilisent trois micros différents.

Ça introduit quelques artefacts dans la voie. C'est un dérangeant. Bref, c'est dérangeant pour moi, peut être que tu ne vas pas rendre compte, mais fallait que j'en parle. J'ai des se plugin de l'ordinateur à ça. Bref, c'est réglé. Ça. Donc, j' viens de parler à j'enregistre ceci là aujourd'hui, on est le 24.

Donc je m'en vais à un souper de Noël. Alors je vous souhaite à tous et à toutes un merveilleux temps des fêtes. Et j'ai hâte de vous montrer qu'est ce que j'ai prévu pour vous en 2025? Je vais faire quelques annonces très importantes d'ici quelques jours avec la venue de la nouvelle année. Alors sur ça, bonne écoute, bonjour à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode de sco marketing et domination mondiale.

Comme vous pouvez voir un certain temps que je n'ai pas fait de podcast et bon, je me suis dit que quà commencé le podcast. Il fallait que je le fasse avec des gens dignes de ce nom. Donc, à ma droite, si j'ai Alexandre martel et à ma gorge, Charles Davignon de l'agence antilope, et aujourd'hui on va vous parler de quelque chose de très cool.

C'est le cabinet des curiosités qui a été comme fait entre vous deux. Oui. Et puis qui est un produit absolument fantastique auquel j'ai participé, qui a été un lancement qui a été fait en octobre environ. C'est ça, presque juste la semaine d'avant la fin septembre. Et ceux qui n'ont pas vu passer ça, je suppose que vous étiez parce qu'il y a à peu près 1 000 000 d info qui ont été envoyés par tout le monde en même temps, ça fait un très, très gros base dans toute la entrepreneuriale au Québec et en France partout, en fait en francophonie.

Donc c'est ce qu'on veut parler aujourd'hui. Qu'est ce que ça a donné comme résultat au niveau des ventes, au niveau de la filiation, au niveau de l'orchestration de cette promotion là doit est ce que vous est venue. L'idée de faire ça est ce que c'était le fun ou est ce que c'est un calvaire, un casse tête incroyable fa.

Je vais commencer par te donner la parole. Alex, tu veux nous présenter un peu le concept derrière le cabinet et curiosité est ce que c'est venu. Pis. C'est ça. Petit, un petit théâtre

[00:05:15] Alexe Martel: right ldr ok, donc le cabinet des curiosités, c'était un band de de plus d'une centaine de petits produits numériques. Donc pas nécessairement des formations, mais plus des petits ateliers très courts, des fois des outils, des gabarits, des par exemple, des GABA can, etc.

Et des flatteur. Bref, toutes sortes de produits numériques différents qu'on rassemblait ensemble dans un package, puis qu'on vendait à 96 % deux rabais. Donc tu avais pour à peu près neuf zéro canadiens, deux produits dans le cabinet que tu pouvais acheter pour 299 pi, puis ça ressemble à ça, puis l'idée, en fait, moi, ça faisait très longtemps que je voulais faire ça.

C'est un des produits que j'achète le plus sur le marché américain parce que j'aime essayer des affaires puis découvrir des nouvelles choses. Pis, voilà, c'est comme ça te fait découvrir plein de créateurs que tu aurais peut être pas vu sinon. D'un point de vue aussi infopreneur c'est le fun de regarder comment les gens font leurs affaires.

Tu peux aussi faire de l'espionnage industriel en même temps comme

[00:06:13] Charles Davignon: que du

[00:06:13] Alexe Martel: bonheur.

[00:06:14] Charles Davignon: C'est du cabinet.

[00:06:18] Olivier Lambert: Vous avez été voir tous les infos preneurs de la francophonie, puis avez dit essentiellement est ce qu'on peut aller regarder ce que vous faites bien de on aime avoir vos secrets. Exact. Donc, et toi dans fond, ton rôle de tout ça. Je pense que ça a été plus de coordonné de faire les contacts, de faire la logistique, la technique derrière ça.

Tu parla un peu du bien de de ce projet là.

[00:06:39] Charles Davignon: Oui, dans le fond, Alex a cette idée de faire un groupement qui rassemble plein de monde. Le gros défi c'est, c'est un projet trop colossal pour le faire à une personne. Pis, on se connaît depuis le berceau, ça fait ça fait longtemps le berceau entrepreneurial pour ceux qui nous écoute.

Donc ça fait longtemps qu'on collabore ensemble. L'union pour ce projet là s'est fait naturellement. Mais j'arrête tout suite. Est-ce que vous êtes rencontré à

[00:07:06] Olivier Lambert: cause la tranchée?

[00:07:07] Charles Davignon: Oui, wow, oui. T as-tu un cas de promo ou quelque chose là? Il

[00:07:12] Olivier Lambert: y a pas, il n'y a pas de code de promo, mais je, je veux juste souligner le fait que c, fantastique cette cette communauté là.

Oui, c'est vrai. Puis ce projet là existerait pas la tranchée. Oh, my God fait dans le fond. C'était tout de ma faute.

[00:07:25] Charles Davignon: C'est tout. Voilà.

[00:07:26] Olivier Lambert: C'est si ça se passe bien. C'est grâce à toi. J'adore la conclusion de ce podcast. Donc on vous voit la semaine prochaine

[00:07:34] Alexe Martel: jamais né. La tranchée n'aurait pas existé, donc peut être qu'on peut dans le donner le mérite à ta mère.

[00:07:40] Olivier Lambert: Donc, salut ma mère. Clair salut, clair clair. Donc oui, dans ça ressemble à quoi c'est quoi la grosse architecture? Parce que c n'était pas un petit projet là. Il y avait énormément depuis, ça a été très, très bien faible, d'ailleurs énormément d' reach entre toi, les gens que vous avez recrutés pour ça. Il y a une campagne d'Autriche aussi qui s'est faite pour être capable de trouver toutes ces personnages qui allaient pour donner donne quasiment gratuit le temps.

Ton bi à 96 % de rabais, des gens qui sont peut être pas nécessairement à l'aise de donner leur contenu sur lesquels ils ont travaillé de façon acharnée pendant des mois. Je m'in inclus là dedans.

[00:08:21] Charles Davignon: Bon point. Je parlais un peu de comment qu'on a recruté justement les les 117 personnes les 115 parce qu'on avait tous les deux un produit dans le cabinet.

Il y en avait 115 autres. C'est le but du cabinet de base. C'était. Que ce soit une collaboration colossale qu'on c'est l'idée de base c. Comme on a au moins 100 personnes qui viennent ensemble fait de base. On pouvait pas juste aller regarder 100 personnes dans notre réseau pour faire comme les sans amis qu'on ne voulez vous chippin parce que ça aurait été genre, la même grosse communauté qui se fait juste blesser par 107 personnes qui connaissent déjà pis.

Ça aurait pu se faire, mais on voulait sortir des cercles all, aller chercher du monde que nous on connaissait pas qui ne connaissaient pas non plus pis de juste faire le truc le plus gros possible en allant chercher des cercles différents. Je pense que tu leur remarqué. Il y a sûrement plein de monde dans le cabinet que toi tu connaissais pas avant découvrir pis.

Puis Alex, pour parler aussi de l'idée agnostique des sujets qu'on a parce que je sais que c'est une idée qui était très forte pour toi, mais au niveau du recrutement. Ce qu'on a fait, c'est que, premièrement, est aller chercher notre cercle. Rapprochés qu'on connaissait déjà un peu genre nos amis, les experts, qu'on voyait un peu de loin, mais tout le monde en savait qu'il y avait une bonne expertise, soit qui ont déjà un petit produit de qualité ou qui pourraient nous en sortir.

Un pour le cabinet de qualité basé sur leur expertise qu'on connaît déjà parce c'était comme le point principal de base, c'est qu'on vu que ce soit 117 bon bons petits produits qui val la peine d'être consommé juste comme 117 vieux hybo plate que personne va checker. Puis tout le monde va être déçu de voir.

On a commencé par ça. Pis, une tactique qu'on avait, c'est que dès qu'on invitait quelqu'un, un projet, puis acceptait, on disait connais tu quelqu'un d'autre à nous recommander pour le cabinet est plein de premières références comme ça. Pis de ça. Ensuite, on est allé chercher des candidatures. Quand on avait une coupe de oui, on a plein de monde qui embarqué avec nous qu'on connaissait là.

On est allé un peu en mode candidature, puis c'est principalement Alex dans sa communauté parce que Alex, une plus grosse communauté. Puis on a demandé aussi à Julie Julia, qui a une grosse communauté francophone côté Europe un peu plus. De dire ok, il y a un gros projet sur les petits produits qui arrivent.

On peut vous dire c'est quoi? C'est vraiment excitant avoir de la visibilité sélectionné, mais on, c'est tout. Tout ce qu'on peut dire si ça t'intéresse entre ton petit produit dans cette formulaire là qui basé là dessus, on a comme plusieurs centaines de candidatures, je pense, c'était 300 400 et on a filtré beaucoup parce qu'on ne peut pas dire grand chose sur le projet.

On a eu plein de petits produits pour les parents, je pense, si on voulait faire un bande sur la parentalité,

[00:10:44] Alexe Martel: on est prêt,

[00:10:44] Charles Davignon: on est prêt. Si quelqu'un ici voulait avait besoin de conseil sur la parentalité ou est en train de s'intéresser à ça, on pourrait faire un bande avec ces produits là, puis on aurait un client fait, c'est, on a trié tous ces produits là, puis c'était vraiment, encore une fois, basé sur est ce qu'on est capable d'avoir quelque chose de qualité parce

[00:11:03] Olivier Lambert: que tu viens de dire, mais de quoi?

Qui non, c'est pas. Et pas il faut que je fasse l'annonce officielle. Je n'ai pas le choix. Ma blonde a fait un pause sur Facebook un matin anyway seul le chat est sorti du le chat est sorti du sac à ma blonde est enceinte. On va avoir un enfant. On ne sait pas encore c un gars. C'est une fille est à 13, 12 semaines, quelque chose genre, taxer ça.

C'est pour ça qu'il n'arrête pas de maer. Je suis un futur papa. Et j'ai aucune idée dans quoi je m'embarque. Donc je n'arrête pas de dire des choses niais comme l'air facile ou des joke vraiment, mais des joke. C'est cool. Bref, et pour ceux qui connaissent un peu me, journey prend me journey aussi de prend journey ceux tout le temps.

Ceux qui vont tout le temps un matin, tu le pris? Oui. Avant d' venir ici, je t'ai vu tétais là dessus. Ceux qui savent pas c'est quoi? Mais John, c'est un algorithme d'intelligence artificielle qui permet de générer des images vraiment haute avec un prompt et essayer peut pas essayer de mettre olivier junior sur me.

John. Vous m. Avait tellement interrompu que je sais même pas ce que

incroyable je pas fait de pas de, j'ai peut être perdu quelque skills de ce nom. Ok, je sais exactement ce que je m'en allais. Il y a une feature en même journée à ou ce que tu y donne une photo. Et ils permettent de, il va te donner les prompt de qui va te permettre de générer des images similaires, fait que tu fais slash des ribbe.

Tu mets ton image sur discord et ça va dire ou, mais tsé. Voici quatre prompt qui pourraient générer des images similaires. Mais moi, j'ai mis une photo de moi et dans chacun des prompts, il y avait dad core. Ça a l'air que j'ai un look de papa sans le savoir fait que dad core, c'est un, j'ai été après ça sur Google pour me rendre compte que c'était vraiment comme un fashion thing que.

Ça existe le papa avant d.

[00:13:00] Alexe Martel: Même même le lm voit

[00:13:02] Olivier Lambert: le exact l'intelligence artificielle était comme this guy, comme il va avoir plusieurs enfants, c'est sûr. Bref, donc t'étais en train de recrutement les gens et dans le fond, parce que c'est ça, il y a eu énormément de gens qui se sont probablement inscrits à votre formulaire et tu ne peux pas près à n'importe qui.

Ça a été quoi? Le processus de sélection

[00:13:26] Charles Davignon: première premier qui c'était vraiment d'avoir des produits de qualité, c'est du monde qu'on connaît pas pour une grande partie qui faisait des candidatures, c'est qu'on ne pouvait pas juste faire comme à cette personne. Ça fait des bons, des bonnes stories let's go.

On prend son produit. Ça a été premièrement, regarder les produits, faire comme est ce que ce produit là est vraiment bon de base est ce quon est ce qu'on peut mettre de la faire comme let's go. Je suis fier. Peu importe que est ce que nous on en a besoin ou pas à notre moment dans notre entreprise, peu importe si on a même des produits qui étaient plus dans un côté mindset, même un côté spirituel astrologie etc.

Mais est ce que ce produit là est bon, peu importe son domaine, peu importe ce qui ce qui propose est ce qui va vraiment amener sa promesse, puis est il marche en nos cri. C'est un petit produit, généralement à moins de 100 qui se consomme rapidement aussi grosso modo, en moins de trois h pour vraiment amener un résultat parce qu'on ne pourrait pas faire un bande de sans formation en ligne qui me 20 h, ça fait beaucoup de valeur, mais ça ferait comme rien d'applicable parce que tu ne peux pas faire sans formation en ligne de 20 h dans une année.

Ça, ça fait aucun sens. En tout cas, c'est un conseil que je fais à la maison. Faites pas ça même. C'est c'était comme, c'était la réflexion derrière. Puis après ça, on s'est aussi basé sur les communautés. Est ce que la personne en question qui candidate qui propose son produit, a déjà une communauté, a déjà une certaine crédibilité dans son domaine.

C'est sûr que oui, côté marketing du cabinet, on voulait qu'il y être des communautés les plus grandes possibles. Mais pour autant, ça n'a pas été notre critère premier parce qu'il y a plein de gens avec des grandes communautés qui ont des petits produits qui marchaient peut être moins pour le cabinet qu'on s'est dit.

Bon cette fois ci, on ne le fait pas pour pour ça. Ça nous a fait pas le choix déchirant. Je sais qu'on s parlé de comme on a deux ou trois produits. Exactement le même truc. Qu'est ce qu'on choisit et etc. Ça s'est fait sur

[00:15:00] Alexe Martel: les gens qui font du compter. Comme des fois on avait plusieurs produits sur une même thématique.

Le ça devient aussi, on en a déjà accepté 40. Puis on veut qu'il y ait un on veut qu'il y ait une complémentarité dans les choses. Puis puis le côté, c'est ça. Moi, je voulais vraiment que le bande soit agnostique, genre dans le sens que je trouve qu'en entrepreneuriat, il y a beaucoup des chicanes d'églises.

Le genre moi, je tripe à prospection si j'ai vu un truc sur très récemment, comme si t'aime, pas prospecter, t'aime, pas l'argent. Je stress ça vraiment? Genre, j'étais comme plein monde, une bande. C'est vrai, ça,

[00:15:29] Olivier Lambert: pas surprenant ça ou y a sur.

Mais

[00:15:38] Alexe Martel: mais c'est un peu ça. Il y a comme vraiment des écoles. Pis, ce n'est pas nécessairement tout le monde qui va promouvoir les mêmes façons de faire les mêmes stratégies, les mêmes approches. Puis là moi, j'avais le goût qu'il y a des gens qui collaborent ensemble que jamais ils se retrouveraient sur le même projet normalement, puis ça, c'était très satisfaisant pour moi, le d'avoir met oli Lambert, mais il dérobée, je comme sur le même projet.

C'est comme, c'est

[00:15:58] Olivier Lambert: eu. On a une très bonne relation mélissa, je ou, mais en voulan

[00:16:02] Alexe Martel: dire vous avez zéro la même audience. Vous n'avez pas du tous les mêmes approches. Le même style d'enseignement, les mêmes sujets d'intérêt,

[00:16:08] Olivier Lambert: c'est on vient tous deux de la mauricie. Elle a été élevée au lac à tortue. Moi, j'étais élevé à saint-george le Champlain à côté, littéralement à moins de cinq minutes de voiture.

Donc moi, puis elle, c'est comme qu que on est la même personne

[00:16:22] Alexe Martel: dans. C'est exactement ça. Mais oui,

[00:16:26] Charles Davignon: en terme d', puis aussi en terme de pratique ou on avait des formations, des produits sur les réseaux sociaux, sur Instagram, sur ces trucs là, puis on avait d'autres que c'était comme est veux pas avoir des réseaux sociaux dans en marketing.

Voici comme différentes alternatives. C'était comme ça le vraiment vu comme un buffet de tu. Tu va pas en mode de gaffe? Tous les produits en mode sélectif stratégique de qu'est ce que j'ai vrai? Vraiment besoin dans ma business, puis y a un peu tout, mais je vais choisir les les 10 15, 20 produits qui vont vraiment m'aider dans mon année.

Puis ça va, ça va comme m'amener exactement ce que je veux qui vais mettre de côté le reste parce que non, c'est vraiment correct.

[00:17:01] Alexe Martel: C'est ramp peut être cinq produits en moyenne, à peu près le ton a i rentabilisé dans le fond.

[00:17:07] Olivier Lambert: De toute façon je, la personne a pris à m. Ça a été renta soir.

[00:17:12] Charles Davignon: Voilà

[00:17:15] Olivier Lambert: moi mon produit.

C'est ma formation sur bitcoin qui m'avait pris énormément de temps. Pas ceux qui n'ont pas encore vu ma formation sur bitcoin. Sûr. Ceux qui écoutent le podcast ont tous déjà a appris ma formation, mais en cas, si jamais c'est le cas et que vous ne l'avez pas encore pris, il est trop tard pour la prendre à travers le cabinet, mais est encore disponible sur la site web de la tranchée.

Bref, il va avoir un cas de promo qui va défiler avec

[00:17:36] Charles Davignon: il y a une toute le long des propos différents tsé,

[00:17:40] Olivier Lambert: non, mais moi, j'ai jamais eu de sponsors sur mon podcast t. Je veux dire maintenant les gens, c'est dautant plus populaire. S. Ça a été présenté par sex plus, mais ou je ne sais pas, c'est quoi les autres err héros et compagnies

[00:17:52] Charles Davignon: ses compagn je

[00:17:52] Olivier Lambert: ne sais pas.

C'est qui j'écoute pas beaucoup de podcast québécois. Bon, honnêtement, c'est qui les sponsors' faudrait que j'approche que si jamais c,

[00:17:59] Charles Davignon: c'est que tous les podcast ser qui peuvent pas mettre du budget dans Facebook a ou des trucs classiques parce que c'est genre des jouets sexuels, puis des plus pour adultes.

Ils possèdent les podcasts du Québec. Ça le product market fit et moyen là par contre, toujours là, comme tout le monde a besoin d'une bonne santé sexuelle. Ts, je veux dire,

[00:18:23] Olivier Lambert: ok, fait que là dans le fond, toi, t'es en train de me dire que t'as une agence marketing. Tu donnes des conseils aux gens dans la vie. C'est ça ton métier? Oui. Ok, donc agnostique au produit. Ça, ça veut dire que dans le fond, tu voulais vraiment aller chercher des des sujets qui étaient excessivement variés.

Comme je mentionné ma formation sur bitcoin, il y en avait du monde que c'était sur la pub Facebook. Il y en a d'autres que c'est sur la si sur les l faut

[00:18:48] Charles Davignon: le performance. Quand j'ai

[00:18:49] Olivier Lambert: regardé la liste des produits qui était offert, j'étais comme, oh, my God comme jamais, j'aurais besoin de ceux là, mais j'en ai trouvé qui étaient quand même intéressant fait que t'as raison dans dans le non seulement ça, mais il y a beaucoup de gens que j'étais curieux de savoir qu'est ce qu'ils faisaient comme type de en tant que formateur, puis en tant qu' entrepreneur, j'ai curieux de savoir, ok lui, il y a l'air à se démarquer.

Mais ce qui fait est ce que c'est bon et justement le fait que tu étais comme dans une communauté ou ce que c'est, juste des infos preneur tu ne peux pas te permettre de juste mettre un petit produit de chip sur le side qui un peu honte de donner, il fallait que ça soit bon à cause que tu le sais, tu allait être jugé un peu par te père tout.

Il y avait cet aspect qui

[00:19:28] Alexe Martel: je suis assez d'accord,

[00:19:30] Charles Davignon: non, vraiment. Puis les bonnes de liste, les les personnes, les expertes, les experts qui ont contribué au cabinet. Il y avait tous accès au cabinet avant tout le monde. Puis on a vu plein plein de bons commentaires de comme anglais. J'ai déjà download des 15 trucs, puis je suis déjà vraiment fan fait que je pense cet effet là a marché.

Tu sais que t déjà

[00:19:45] Olivier Lambert: acheté du bitcoin et j'ai déjà fait de l'argent.

[00:19:48] Charles Davignon: Oui, voilà. Exact. Mais ça, c'était vraiment fou,

[00:19:53] Alexe Martel: non? Mais pour vrai que c'est un bénéfice aussi dont dont on ne parle pas souvent de participer à des collaborations. Mais comme tu te fais des contacts, tu découvres des gens qui ont des atomes crochu au niveau de leur manière de créer ou de leur valeur ou quoi que ce soit, puis après envie de collaborer avec eux, on a déjà plein de gens, même avant le lancement qui ont fait des podcasts à plusieurs et qui sont organisés, qui ont fait des coll, puis ou c'est cool,

[00:20:15] Charles Davignon: vraiment, je pense, ça a été le plus gros truc du cabinet.

Au delà d'aller générer de la visibilité des lits des vivant du Québec. C'est

[00:20:23] Olivier Lambert: le plus gros tru. C'est les ventes définitivement. Puis je pense qu'il faudrait qu'on en parle comme plus rapidement possible parce que les gens, c'est ce qui veulent savoir ça fait de l'argent cette affaire. Là, ça a, tu valu la peine que je me fasse pâmer par à peu près à 50 info par une semaine.

On voit la souris d'ordinateur là, ça me tape tellement sur les nerfs. Je suis prend la met à terre. Je suis désolé pour les gens qui sont en audio, seulement là, mais c'était inacceptable pour ceux qui allaient écouter. Bref l'audio, description la souris est partie. Merci. Ça te fait de l'argent à cette affaire là c'est qui, qui est, qui est le plus familier avec les chiffres entre vous deux, j'imagine vous deux mais plus toi.

[00:20:58] Charles Davignon: Ouais.

[00:20:59] Olivier Lambert: Fait que ça ressemble à quoi moi? Je sais que j'ai un petit chèque, mais. Mais encore

[00:21:04] Charles Davignon: grosso modo, on a vendu à peu près 1200 1200, quelques cabinets. Au final, c'est un projet qui a généré 350 zéro de ventes au total pour pour une première année. On est vraiment contente et on avait plein d'objection qu'on n avait prévu d'objet qu'on n'a pas prévu.

Nos attentes étaient comme entre plus bas que ça est vraiment plus haut que ça. Et on se disait comme ad que pour puis on vend le plus possible parce que le deal est là. Pis pour un temps limité. Concrètement, ça a vraiment bien marché. Pis là, ou c'est justement en terme d'argent, puis de rentabilité là ou on a été vraiment surpris positivement.

C'est à quel point il y a plein de monde avec des petites communautés. Quand on se disait ils vont vend un ou deux, puis parce qu'il c'est ça le but du cabinet. C'est comme, il y a une grande partie qui vont vend un, deux ou trois. On avait des bonus aussi assez assez chiffres là parce que quelqu'un qui a une petite communauté vend trois quatre produits dans un lancement comme ça, c'est parfait.

Puis on est bien content. Il y en a plein qu'on s'attendait qui vend un ou deux qui en ont vendu. 15, 10, 15, 20, 35, 30, 31. Il y en a qui se sont rendus là ou est ce que déjà ou the he doù est ce que vous sortez pour en vendre autant vos communautés marche pas avec ce chiffre là, votre l'estimer en marche pas avec ce chiffre là, etc.

Je pense que le côté mettons financier, il y en a plein qui on tire la épingle du jeu de façon vraiment surprenante que même là, je ne pourrais pas expliquer pourquoi exactement, mais qui en fait juste comme, yo, j'ai des j'ai des techniques que les autres ont pour aller aller chercher des ventes,

[00:22:30] Alexe Martel: puis au niveau de la rentabilité, ce qui est.

Important aussi, c'est que si on se décide à le refaire, ça va être beaucoup plus payant parce que là, les systèmes, les processus sont déjà faits. Le back end des prêt. J'ai fini d'automatisme des affaires c, tout ça, c'est prêt. Ça ferait que si on refaisait le projet, même en général, le même montant pour nous deux, ils seraient plus rentable.

Ça c'est certain, parce que ce temps là est déjà investi. Ces systèmes là existent. Maintenant

[00:22:58] Olivier Lambert: que c'est dans les plans lancé, peut être l'année prochaine. Est ce ça d'un projet peut être annuel est ce que vous allez à chaque fois demander des nouveaux produits ou ça va être à le même corps, puis vous allez juste toujours en rajouter pour faire une quantité de valeur complètement ridicule.

Bonne

[00:23:12] Charles Davignon: question. C'est sûr que le concept du cabinet est comme trop bon pour juste l'acheter aux poubelles. Dire c'est bon le fait une fois puis on y revient plus jamais comment il va revenir quand de quelle façon c'est, je veux dire. Il y a plein de bons et de mauvais côtés. Comme c'est un projet qui se critique que négativement propose autant de produits.

Ça amène plein de questions et tout fait. Comment on va le ramener exactement. On ne sait pas trop est ce que c'est un projet annuel. Ça fait beaucoup de jobs pour un projet annuel. Honnêtement, parce que c'est un projet qui nous a pris presque un an et demi à faire. C'est énormément de temps. Les deux dans nos horaires pour ça met en moi.

Je me vois pas le ramener année après année pendant 10 ans parce que ça fait comme c'est comme une grosse partie versus on a aussi nos produits, nos services à côté, on

[00:23:53] Alexe Martel: veut faire autre chose à un moment donné ce que je trouvais raisonnable, c'était probablement peut être le faire deux années de suite pour la première fois comme le on a un momentum, on serait prêt.

On aurait ce serait beaucoup plus facile aussi d'aller chercher des petits produits. Maintenant, si on veut avoir complètement des produits nouveaux, parce que on a fait notre preuve de concept. Et il y a des gens qui nous ont dit non, qui vont nous dire oui, f. Puis on va, on va recevoir beaucoup plus de candidatures en plus.

Donc ce serait facile de le faire une deuxième fois, deux années de suite. Mais moi, je pense qu'après ce serait vraiment plus soutenable, puis intéressant de le faire aux deux ans, ça laisse le temps aux gens de l'attendre, puis d'être un peu en panique

[00:24:28] Olivier Lambert: aux gens de faire autour du stock qui ont acheté.

On a parlé des des objections que tu n'attendais pas à avoir peut être que tu me dise parce qu'il y avait du du matériel promotionnel qui était fait à l'avance, qui était donné au bande de liste pour les gens qui écoutent dans le fond, c'est un lien, un portail de documentation sur nos chaînes avec plein d'exemples de qu ce que tu pourrais faire comme il faut être comme publicité comme post sur Facebook, etc.

Donc, vous allez déjà prévu quelques objections. Oui, quelques unes de mais moi, ceux que je suis encore plus curieux, c'est à les objections que vous avez reçu que vous n'avez aucune idée à l'avance que ce genre d'objection là à ressort,

[00:25:05] Charles Davignon: si je peux parler de celle qu'on compris voyez d'avance pour parler de celles qu'on a eu en surprise, dit nous s'est dit ok, c'est un band.

Le concept du est assez connu en francophonie. Il y en a pas des dizaines et dizaines comme aux états-unis. D'ailleurs, pour l'anecdote, Alex, il y a tellement de bonne drôle que des fois les gens achètent, se rend compte qu'il il y a plein de produits qui sont les mêmes au travers des

[00:25:26] Alexe Martel: sur le marché américain.

C'est tellement commun des comme ça qu'il faut que tu regardes les produits pour faire attention de pas en acheter deux qui ont trop de produits en commun. On est comme pas dans le même,

[00:25:35] Charles Davignon: mais mais bref, ça pour dire que on se disait dans les il y a plein de band d'industrie qui se font en francophonie, y a catching qui est comme le gros de la business en ligne qui existe déjà année après un année depuis comme cinq, cinq ans.

Si c'est comme, on n'arrive pas avec quelque chose de complètement nouveau en terme de bande, les gens vont comprendre ce que c'est ça, ça a marché, les gens comprenaient, c'était et tout. Puis on arrivé en mode, il y a 117 produits. Les gens vont se dire. Merde, je pourrais pas toutes les faire. C'est comme, c'est impossible pour moi que ça ne vaut pas la peine que je l'achète.

Donc notre premier grosse objection prévue, notre premier gros grosse ligne de marketing c'était tu n'as pas à toutes les faire pour que ce soit rentable. Tu dois choisir, tu dois stratégiquement décider les calculs que tu veux. Puis on est vraiment allé en partageant ce mode, Joe mots, au lieu d'avoir le faux mot d'avoir peur de passer à côté plein de produits, mais est le Joy of me de choisir consciemment les produits a vraiment besoin, puis mettre les autres de côté en disant mais si je les veux sont là en bonus et je peux, je peux m'inscrire, mais ceux que j'ai vraiment besoin, je vais vraiment les faire pour vrai.

Ça peut être cinq que ça peut être 10. Puis on a même fourni un calculateur parce que les gens crochaient les produits. Ça, c'était beaucoup de jobs que Alex a fait à la dernière minute, mais vraiment avec brio, avec brio. Mais comme tu fais cocher les produits en euro ou un canadien, c'est deux fois plus de job et ça a donné la valeur totale des produits versus la valeur, le prix du cabinet.

C'était vraiment centré autour de ça, de. Tu as peur de pas toutes les faire. C'est normal. C'est normal. Fait les pas toutes faisant 10 faisant 15. Ça va être bien assez va avoir ta valeur. Qu'est ce qui s'est passé? Alex, face à ce message,

[00:27:11] Alexe Martel: on l'avait très bien anticipé. Et donc on a tourné toute notre marketing, nos arguments envers ça et là, il est apparu un deuxième type de prospect que moi.

J'avais vraiment pas imaginé qui était une question qui revenait sans arrêt, qui était ouais, mais je peux prendre les 117 comme si le fait de communiquer comme ça sur l'idée que tu n'es pas obligé de tous les choisir, que tu peux faire des choix. Ça a créé une part chez les gens. Ouais, mais moi, si j'y veux toutes le, je veux toutes les downloader.

C'est la question qui revenait le plus souvent là, on se disait si on le refait, c'est évident qu'on fait des publicités dans les deux angles en simultané pour que. Comme on répond en fait à ces, il y a vraiment comme deux types de prospects qui y a comme le prospect qui veut tout bouffer, genre, puis qui a peur de ne pas pouvoir tout bouffer, puis qu'il y a des limitations sur le nombre de produits qui peut prendre que oui, absolument, puis y l'autre qui est comme overwhelm troublé.

L'autre truc qu'on n'a pas anticipé qu'on aurait dû faire. Et je m'en veux un peu pour celui là parce que j'aurais pu, j'aurais pu y penser. Écoute, on ne peut pas revenir par le temps, mais dans le marché anglophone, les petits produits, c'est extrêmement commun. Il y en a plein. Je veux dire, c'est le marché beaucoup là dessus.

C'est temps ci. Je pense que les gens achètent moins de formation en ligne qu'avant. C'est un bon premier rachat à faire pour les gens d'acheter quelque chose de petit. Et donc il y en a plein. Tout le monde sait c'est quoi? Mais là en francophonie, c'est pas si clair que ça. C'est quoi un petit produit?

Tu comprends? Ce n'est pas quelque chose qui est si commun que ça en infrt. Et donc on a des gens que pour vendre le band, c'est quoi de réflexes en francophonie? Quand on vend quelque chose de digital, tu utilise le mot formation, formation, formation, puis si. Un bonne de liste avait le malheur de dire que c'était 117 formation.

Tu viens de créer l'objection. Je n'aurai jamais le temps de faire 117 formation alors qu'il y a plein de produits qui n'étaient pas des formations. En fait, les quelques formations qu'on avait dans le bande, il étaient courtes qui étaient vraiment bonnes, mais sinon beaucoup de choses que tu peux télécharger puis utiliser immédiatement.

Je veux dire, des tetes pour tes publications Instagram. Genre, c'est pas, et c'est pas quelque chose que tu ajoute à ta ou do, le télé charge, c'est tout

[00:29:11] Charles Davignon: ça.

[00:29:12] Alexe Martel: L'an prochain, je fais une liste de mots interdits dans la dans cette liste. Le premier mot, ça va être formation. On n'as pas le droit d'utiliser le mot formation dans le.

Dans le marketing. Bon pour pas créer cette attente, cette peur là qui n'avait pas lieu d'être, parce que c'est pas ça des produits numériques. Puis je l'ai pas anticipé, puis je m'en voulais un peu. Mais en même temps, on a été très chanceux d'avoir un bon contact avec les gens qui faisaient la pub avec nous qui nous communiquaient comme ça, tout ce qui se passait, c'était quoi les peurs des gens, etc, etc.

Un autre truc qu'on n'avait pas vu venir, par exemple, c'est le fait que les gens qui ne connaissaient ni moi ni Charles avaient vraiment peur que la qualité des produits soit pour au rendez vous. Donc, par exemple, en plein milieu de lancement, on a demandé à tout le monde de faire des moop de l'intérieur de leurs produits.

On a ajouté des moop dans la galerie on, on a pu pivoter comme ça en cours de lancement très efficacement parce qu'on avait un bon contact avec le monde qui faisait la campagne de peu. Ça, c'était vraiment le fun.

[00:30:08] Olivier Lambert: Oui. Puis moi, je pense aux j su quand j'ai fait justement les info, les pauses que j'ai en lien avec tout ce puis à la première objection que j'ai reçu, c'est justement comme, il y a bien de stock.

J'ai l'impression que je ne vois jamais être capable de passer au travers. C'est en même temps, je faut se mettre à la place des gens que, ok, c'est cool. Quand que tu connais quelques personnes dans le sauf qu'il y a tellement de monde que tu ne peux pas avoir, tu ne peux pas connaître chacune de ces personnes là pour te dire ok, ça, c'est sûr que ça va être bon.

Ça, c'est sûr que ça va être bon. Que tu vois un petit peu par titre, puis un petit peu par thématique. Mais il y avait tellement de choses que ça prenait, comme au moins 10 minutes à scroller

[00:30:46] Charles Davignon: tous les produits, c'est seul le but, c'est que tellement que tu dis, c'est sûr que la dedans, je trouve des choses qui sont pour mon compte qui vont m'intéresser, mais mais t'as raison.

C'était un des un des gros points de c'était. Oh, je ne connais pas l'organisation du cabinet. Je ne sais pas, c'est qui je connais une personne. Mettons qui m'en parle plus. J'en ai genre 100 se ou 100 1514 autres que j'ai aucune idée de si leur fais confiance de si est bon de si leur produit va être bon, etc.

Que ça a créé cet effet là ou même si le bonheur en tant que tel, c'est comme un haut brainer parce que tellement de valeur pour un si petit prix. Mais là c'est ok, j'ai comme ça au moins 100 personnes que je connais pas que je ne sais pas si leur produit va être bon. Puis au final, les actions qu'on a mis en place pour présenter les gens ont fait une partie de ce travail là, mais on peut tout résolu parce que naturellement quelqu'un qui a un peu sceptique, c'est normal.

C'est normal. 67 produits qui sais pas, tu peut être pas. C'est quoi? Un petit produit de magnette juste mis dans un truc payant est ce que il y a eu. Il y a eu cette interrogation là aussi, qui, au final. Je pense qu'on ne pourra jamais s'en lever au complet parce que c'est normal d'être sceptique. Un petit peu de gens connais pas, mais là on le fait une première fois, on a une tonne de témoignages de

[00:31:53] Alexe Martel: ça qui

[00:31:54] Charles Davignon: il y a ça aussi.

Maintenant que la table est mise pour une deuxième fois, je pense que ça va se

[00:32:00] Alexe Martel: voyait beaucoup dans notre courbe de vente parce les deux premières journées, c'était mes clients cache maintenant qu'on aurait comparé la liste des ventes du cabinet à la liste des acheteurs de mes formations. Les gens qui ont acheté en premier, c'était les miens parce qu'il étaient comme, c'est Alex qui fait puis de moins Richard, c'est moi que la liste, le fact, c'était comme ces gens là me connaissaient, me faisaient confiance que j'allais rassembler quelque chose d'intéressant.

C'est vraiment eux qui ont acheté les deux premiers jours, puis après notre courbe, fait un gi majuscule, terrifiant,

[00:32:26] Olivier Lambert: avoue que j'ai fait dans la fouage de la première journée. Et puis j'ai quand même, c'est un très, très bon produit, ont très, très bonne valeur. Puis finalement ça. Pour donner grand chose de mon côté, mon, pour centage conversion était quand même assez bas.

[00:32:38] Alexe Martel: C'était fou le mes clients qui achetaient puis vraiment les inconnus, les personnes que qui venaient pas de ma communauté, c'est les deux dernières journées. C'était

[00:32:47] Charles Davignon: de très loin comme

[00:32:48] Alexe Martel: un peu fou, genre, on a fait des centaines et des centaines et des centaines de ventes l'avant, dernière journée. Puis là, je me disais.

Ça, ça peut, on va ça avoir encore une aussi grosse montées. On en fait plus que le double de vente la dernière journée. Et là, j'étais comme mon dû, mais ça vraiment besoin d', on

[00:33:03] Olivier Lambert: prend un genre de répartition des ventes par jour. On pourrait dire que la première journée, vous avez fait être 10 % ou 15. Les ventes

[00:33:11] Charles Davignon: comme

[00:33:11] Olivier Lambert: jusqu'à l'avant, dernière journée peut être fait un genre de 20 à 30 % de plus.

Puis les deux derniers jours, c'est vraiment là que je dirai

[00:33:21] Charles Davignon: jours, on ont moins fait un genre de 50 des ventes, voire plus,

[00:33:24] Alexe Martel: ou peut être même un que quand j'avais regardé, on avait fait 65 des ventes les deux derniers jours. Ce qui est fou aussi, c'est qu'au milieu, on n'a pas eu de baisse totale.

D'habitude, quand je fais des lancements, j'ai une chute au milieu ou vraiment et comme eu le, ça descend complètement. Mais là, tous les jours, on faisait le même nombre de ventes au milieu parce que je pense qu'on continuait de convaincre des sceptiques un petit peu tous les jours. Ça, ça fait plus un genre de crochet.

C'était bizarre.

[00:33:48] Olivier Lambert: Vous avez un publicitaire aussi. J'imagine que vous aviez une partie des ventes comme quotidienne de base du bas qui provenait de la publicité.

[00:33:56] Charles Davignon: Puis au final, il y a beaucoup de bande de qui y mêlaient ou qui communiquaient presque à chaque jour sur le cabinet. Il y avait des gens qui étaient convaincus à chaque jour, ce n'était pas, ce n'était pas une action.

Est ce que. Oui, il y en avait des contenus minimums qu'on demanda à tout le monde et une annonce au début des ventes annonce à la fin des ventes, on avait plein qui faisait des live, des des tonnes de trucs pendant qui ont fait un genre de lancement lancement dans le lancement comme

ça le comme continuellement, c'est sûr que ça a constamment convaincu des gens aussi. Si on a longue période de vente, on avait quand même 10 jours. C'était comme, tu avais le temps de penser, de remettre ça à demain. Tout ça, c'est normal. C'était prévu. Puis on a même tout le monde. C'est comme, ok, le week end arrive.

On la lancé ça le mardi, mardi, mercredi c'est les premières ventes. Le week end arrive si à zéro vent, c'est normal. Panique, pas si ça. L. Beaucoup

[00:34:47] Alexe Martel: rassurer, puis motiver les petits, parce que pour moi, Charles, même s'ils font pas beaucoup de ventes individuellement, s'il y a 50 petits dans le cabinet qui font trois ventes au lieu d'une ça fait une méchante différente.

À la fin. Donc de garder les petites audiences qui peut être dans une courgie font aucune vente au début, motivée jusqu'au bout. C'était super important pour mais c'est

[00:35:06] Olivier Lambert: justement curieux d'en savoir un petit peu plus sur la répartition des ventes en fonction des affiliés. Normalement 80 20, avoir comme quatre cinq, lier qui font toutes les ventes, puis ça après

[00:35:19] Charles Davignon: s'attendait aussi.

Oui, mais

[00:35:22] Olivier Lambert: c'est ça que vous avez pas

[00:35:23] Charles Davignon: ça qui non? Ce qu'on s'est rendu compte, c'est que justement on s'est dit on va avoir quatre affiliés qui vont faire 80 % des ventes parce qu'il y ont a des grosses communautés. On avait, on a plein de gros noms dans le cabinet. C'est eux qui vont. Puis on va avoir toutes les autres avec une deux ventes, puis ça va être parfait.

C'est parfait parce que l'avantage pour toutes les personnes dans les petites communautés, ce n'est pas de faire c. Vente au lieu d'eux. Oui, c'est un petit revenu de plus, mais au final, c'est d'avoir des centaines et des centaines de lits qui peuvent découvrir ton produit qui peuvent découvrir genre ce que tu fais, qui peuvent être s'abonner, s'intéressant à des trucs et éventuellement devenir client.

C'est seule la grosse valeur. C'est parfait comme ça. C'est un peu comme ça qu'on fait l'imaginer finalement réparti, vraiment différente. Les grands affiliés qu se ont une grande communauté et tout finalement, il y en a quelques uns que pour des raisons de timing, il étaient peut être déjà en lancement aussi.

C'est un petit peu moins ça. Il y en a d'autres que juste ça, moins levé dans leur communauté. Puis on a plein plein plein de petits que, comme je disais, tantôt on se disait être fait une vente, en fait, c'est parfait. C'est ça qu'on s'attend. Ça va être parfait toute façon. C'est comme Alex, si on est capable de pousser tout le monde à faire trois ventes au lieu d'une c'est gagnant pour tout le monde, parce que ça fait des centaines de personnes qui peuvent te découvrir en plus que c'est comme, c'est vraiment une grosse différence sur le total de ls potentiel pour tout le monde.

[00:36:36] Alexe Martel: oli. Pour te donner une idée, on a un lier qui est dans le top 10 des meilleurs vendeurs qui a une liste de courriels de 700 personnes.

[00:36:43] Charles Davignon: C'était, c'était ce genre de choses là.

[00:36:47] Alexe Martel: Comme tu comprends, c'est assez intéressant de regarder regarder les résultats.

[00:36:54] Charles Davignon: Ça a vraiment

[00:36:55] Alexe Martel: fier.

[00:36:56] Charles Davignon: Oui,

[00:36:56] Olivier Lambert: c'est complètement fou.

Oui. Puis au final, on se rend compte que même temps, j'imagine que c'est quand de 700 personnes à nourrir vraiment mieux que quand t as une iste comme 50, 60 zéro personnes, parce que là un espèce de de un plus que ta liste à grosse plus que t'as comme des zombies qui s'accumulent à talice fait que t.

T'as beau faire le ménage, mais un ménage, mais eu ts il y a tout le temps. Les gens qui vont peut être ouvrir une fois de temps en temps, mais sont un peu blasés de temps contenu ou ils encore vraiment beaucoup, sauf qu'ils ont juste plus besoin de te services maintenant sont comme un peu ils suivent parce qu'ils trouvent smpa mais c'est clair besoin,

[00:37:37] Charles Davignon: petite communauté.

On a encore plus le goût d'encourager si c'est comme là, j'ai le choix en plein de personnes que je connais. Je vais encourager la personne que je sais que mettons arriver à cinq ventes à faire une grosse différence versus la personne qui est peut être aller déjà une grosse business. Elle a déjà une grosse liste des grosse affaires.

Je sais que ça va déjà marcher pour elle. Il y a peut être cette été fait là aussi. Des

[00:37:53] Alexe Martel: techniques de vente que les petits ont fait. Les petits ont mieux réussi. Recommandaient des produits aux gens. En seul ça a fonctionné.

[00:38:02] Charles Davignon: Écris moi, puis je te fais un band adapté pour toi.

[00:38:05] Alexe Martel: Je te connais à cette taille de l' tu connais les gens qui suivent moi je nostalgique de cette période un petit peu le métier, le moment ou je ne sais pas moi, Valérie, qui répond tout le temps à ton info, tu sais, c'est qui Valérie?

Quand Valérie t'écrit j'hésite à acheter le bon Valérie, tu fais elle faire. Tu pourrais prendre tel ou tel ou tel produit qui fait un Lou seul. Ça a très bien fonctionné pour les gens qui avaient des plus petites,

[00:38:26] Olivier Lambert: un tch bot. Était quand même nice. J'ai essayé,

[00:38:29] Alexe Martel: c'était dans mes nice to have pis, je n'ai pas eu le temps, mais c'est certain que j'aurais aimé ça.

Un chat bot qui dans le fond, j'en avais fait un pour catching en plus, j'en ai fait un pour le bonheur de James. C'est juste que nous, c'est un peu plus complexe. Vu la quantité de produits, il aurait fallu que il soit capable d'aller chercher l'info à l'externe. Je n'ai pas eu le temps de le faire, mais c'était dans mes projets parce que c'est tellement le fun.

C'est pour catching. Ce que j'avais fait, c'est exactement ça. Il pose des questions. Le petit robot sur comme quitter. C'est quoi ton entreprise, tout ça, puis après ça, j'utilisais évidemment, j'ai p été pour faire des recommandations de formation qui étaient dans catching mais qui venait s'appuyer sur ce que la personne avait dit.

Tu m'as dit que tu avais besoin de ça. Je pense que telle formation serait bonne pour telle ou telle raison. C'était super con que c'est sûr que c'est mon. Quand on va le refaire, si on le aurait fait prochaine fois la prochaine fois, c'est mon premier projet. Maintenant que toutes les automatisation sont fait de la tech existent

[00:39:25] Olivier Lambert: et parle justement parce que c'est un autre sujet que j'avais dans ma liste pour un pour discuter.

Je savoir, ça a été quoi? Dans le back end. Ça ressemble à quoi le petit sta de technologie. Je sais que vous êtes ok, fan de bon,

[00:39:38] Alexe Martel: bon partout au lit. Tellement de air là dedans, c'est glorieux comme

[00:39:44] Olivier Lambert: mettons que tu. Expliquer un peu le rôle comme

[00:39:49] Alexe Martel: si Google chiite avait un cousin vraiment plus sexy, puis plus cool ça en fait, c'est des bases de données que tu crées sur.

C'est très facile d'utiliser ça après pour nourrir des automatisation que tu saches coder ou pas. Donc, Si tu utilises, par exemple, mais whatever ou même à l'intérieur des, tu peux faire des automatisation maintenant, mais tu peux aussi faire rouler des scripts, etc, etc. On a ça, ça touche beaucoup de possibilités au niveau des automatisation.

Et nous, le projet en entier presque, a été géré dans on avait des données, puis des vues pour tout. Absolument tout autant pour filtrer les candidatures. Les gens remplissait des formulaires avec tali que tu connais sûrement qui est comme un petit logiciel de formulaire vraiment face, pas

[00:40:34] Olivier Lambert: gratuitement, abonné à tous les gens qui sont abonnés à la tranchée.

Absolument, ça va

[00:40:39] Alexe Martel: y la bannière passe à ce moment ci. La voilà. Elle est belle. Ok, non. Mais pour vrai

[00:40:43] Olivier Lambert: donner le job que je fasse des bannières que je trouve les timestamps ou est ce qu'il faut que je rajoute des bannières vu mettre un fonds de

[00:40:50] Charles Davignon: galaxies maintenant.

[00:40:52] Alexe Martel: Peut se faire la transcription par whisper, puis toutes les fois ou il y a le mot bagat tu check ou est ton time système de rien, pas que tu peux faire ça, mais absolument que autant pour le back end, d'un point de vue s'organiser, notre adjoint virtuelle avait accès au pour suivre les obligations d'envoi qu'on avait tout et pour faire la le site web, si on veut ou tu navigue à travers les produits, c'est aussi tu nourris la base de données, ok?

Dans le fond, est

[00:41:22] Olivier Lambert: ce que c'est le est ce que le front end et ou c'est qui est la base de données avec. Ok,

[00:41:29] Alexe Martel: qui est un, ce qui te permet de faire des petits sites web facilement en te servant de she ce que tu veux en back end pour ta base de données. C'était beaucoup plus simple pour nous, parce qu'à 117 personnes assis à toutes les fois que quelqu'un avait une modification à faire dans sa fiche de produits, il avait fallu, par exemple, ouvrir 10 vie, un build de site web.

Ça aurait été beaucoup plus de travail là. On change l'info dans et ça s'adapte être tout de suite partout, ce qui rendait ça beaucoup plus simple. On avait ça, sinon beaucoup d'automatisation. Et pour que l'expérience autant de nos collaborateurs, puis des clients soient le fun moins vraiment.

[00:42:07] Charles Davignon: Maintenant pour ça, reste sur mais une des grandes fiertés, je pense qu'on a du lancement.

C'est l'expérience qu'on a fait au bonne de à parler du salon, nos Ocean qui regroupait comme 1 000 000 d'informations. Il y en avait vraiment beaucoup, mais c'était comme, on avait des gears. On avait, comme toutes les infos, les liens affiliés, les dates importantes et toutes. Mais à côté, si on avait image chaque jour pendant lancement, comme sûrement vu passer qui résumait des ventes au total, puis les salut matin, olivier fait temps de ventre jusqu'à maintenant il resté en vente pour atteindre le prochain palier.

Aujourd'hui, on est au milieu du lancement, reste motiv. C'est normal que ça vende un peu moins etc. Et on est la dernière journée, c'est le temps d'en parler, etc, etc. C'est mais là est automatisé. Et c'était entièrement logé dans les ventes de chaque affilié pour ça. Ça a été quand même lourd à mettre en place, mais ça faisait en sorte que chaque vente sur était loée avec l'affilée dans on n'avait même pas les

[00:42:59] Olivier Lambert: infos directement à l'intégration de parce que tu mentionné qu'il y a un truc d'tm on a

[00:43:06] Charles Davignon: fait un we dans qui

[00:43:07] Olivier Lambert: we directement exactement ceux qui connaissent pas les webo et qui ont aucune idée de, c'est quoi qu'on parle avec des webo puis c'est des trucs dation pis, non, non.

Arrête. Arrête, arrête, arrête, arrête, arrête, arrête. Tu peux pas dire ça. Je viens de sortir. Formation sur lation ça j'allais pla avec mais eu. Oui, effectivement JP. Mais vous pouvez également aller regarder ma formation. C'est sûrement le meilleur. Enlever l'air, enlever l'air de mon souffle. Bref. Domination mondiale sur pilote automatique regard.

Bonne formation, ce que j'explique, c'est quoi un a pays? C'est quoi une requête h? C'est quoi un web book? C'est quand les gens d'aut automation de marketing. Ton agence te parle puis disent tu peux tu juste aller donner ta clé de pays, mettre ça dans cette affaire là ou peu importe. Puis tu comprends pas trop.

C'est quoi? Qui te demande de faire, mais comme une bonne base qui explique chacun des concepts pertinents et les bases. C'est plus facile aussi de faire des trucs. Exact, c'est ça?

[00:44:10] Alexe Martel: Non, non, mais pour vrai, ts, parce que moi suis

[00:44:13] Olivier Lambert: vraiment, je te trouve ben gentil là et là, ça vient de changer là. Ah,

[00:44:19] Charles Davignon: c'est la vie.

[00:44:20] Olivier Lambert: Bref, il y a une autre chose aussi que j'ai trouvé qui était quand même cool avec le. Cabinet menait des curiosités. C'était le concept avec d'escorte les genres de comment qui appel ça? Les salons d'escorte

[00:44:31] Alexe Martel: les salles de conférence.

[00:44:32] Olivier Lambert: Bon, c'est vraiment hot. Ça va? Combien de temps que c'est sorti est ce que c'était la première fois que tu l'essayais en

[00:44:36] Alexe Martel: fait, on a utilisé ça souvent quand je faisais dans les dernières années mon festival de la création de contenu, on avait des moments vraiment visuels avec des webinar classiques.

Mais le matin, très tôt, on faisait des trucs audio seulement sur moi. J'aime j ma graphiste aussi. On est un peu obsédé par cette plateforme là. C'est pas mal. Notre plateforme préféré pour les communautés. Pis. Ouais, c'est juste vraiment le fun, ces espèces de salon là. C'est très relax. Tu peux activer la caméra, mais t'es pas obligé et ça permet d'avoir des conversations c plus spontanée, un peu avec les gens.

C'est super. C'est super. Bien fait. Moi quand

[00:45:11] Olivier Lambert: j'avais testé d'escorte au début de la copine pour faire des rencontres secrètes en ligne, je ne sais pas si je rappelle, on avait fait des des salles avec différentes conférences qui se faisaient en même temps. La. Gros problème, c'est que fait toutes les caméras, tout le monde soient activées en même temps et tu une limite de vrai personnes.

[00:45:28] Alexe Martel: Maintenant c'est 50 mes caméras fermées. Tu peux avoir 1000 personnes dans ta salle de conférence, je pense même trois ou 5000 maintenant le c'est

[00:45:35] Olivier Lambert: parfait parce que tu ne veux pas avoir comme 5000 caméras ouvertes en même temps avoir le présentateur, puis la personne qui pose la question après s'il y a une paire de mais date appui.

Moi, ce que je trouve, qui était avant et toujours la solution des hommes que zoom, ça coûte tellement cher pour rien

[00:45:53] Charles Davignon: que

[00:45:54] Olivier Lambert: pour juste prendre d'escorte, puis avec cette fonctionnalité là privé, puis ça devient un peu de mag

[00:46:00] Alexe Martel: d'automatisation, c'est que c'est tellement facile avec des score d' automatisé.

Quoi que ce soit mon même et sur d disco, puis quand les gens achètent accès automatiquement, retirer l'accès, les rôles, etc. Les permissions sont bien faites, puis comme c'est plus ouvert qu'un groupe Facebook au niveau justement des abbaye peut faire des choses qui sont beaucoup plus fun

[00:46:20] Olivier Lambert: sans avoir besoin de manuellement prendre chaque personne, y donner le rôle, puis y donner accès à tel truc à pas.

Payer, faut que tu ille enlevé l'accès

[00:46:28] Alexe Martel: vraiment à l va rire le mais j'avais déjà fait un genre de défi cinq jours que j'ais un défi brutal? Ou quand les gens faisaient pas l'action du jour, je les kick out de mon groupe Facebook. Puis ça nécessitait que je scrape la liste des membres tous les jours que j'allais voir qui avait rempli son Google dog, puis que les autres, mon pauvre marc-antoine les supprimer à la main.

Un par un groupe qui avait comme 4000 personnes dans le groupe, la première journée. Beaucoup de travail. Pis aujourd'hui, je veux dire ces espèces de scraper là on ne peut même plus les utiliser. C'était comme très black, un petit peu maintenant, mais bon, c'était comme la solution et improviser que j'avais parce que c'est tout ce qui existait des groupe Facebook maintenant avec.

Tu pourrais tout automatiser ce puis avoir aucune job pour marc.

[00:47:07] Charles Davignon: Le truc, j'étais le plus fan de notre salon d'escorte parce que il y avait le côté public pendant le lancement. Il y avait aussi le côté comme privé pour les bonnes de liste qui sont ouvert comme plusieurs mois avant le cabinet, c'est qu'on avait une section un peu plus comme un mode forum ou il y avait une grande question de on veut que ce soit une énorme colla.

On veut que les gens collaborent ensemble. Ça ne fait pas de sens de juste avoir un un trait de chat pour proposer des collaborations. Le monde le monde vont se perdre et ça fait aucun sens. Et puis. Alex c aimé comme on une fonction sur des score, pas besoin, genre de faire un truc à côté de petites annonces.

Quoi? Les gens peuvent poser leur truc, que les gens peuvent répondre à ces annonces. Là, ça a été tellement plus facile de coordonner si on a eu au final, je pense une vingtaine ou trentaine de propositions de collaboration sur cet espace là, mais c'était comme moi, je fais des live sur tel sujet. Il y du monde qui veulent embarquer, puis venir sur mes live pendant pendant tout le mois de septembre, j'ai le goût qu'on fasse un real collaboratif est ce que je passe, le téléphone à telle autre personne, etc, etc.

Ça fait genre cinq avec une centaine de personnes. Au total, c'est comme, ça a vraiment vraiment marché des podcasts, des live, des webinar, des

[00:48:11] Alexe Martel: carcel, comme des

[00:48:12] Charles Davignon: carrousel collaboratif. Il y en eu tellement. Puis je pense que au final, c'est grâce au fait que les gens ont juste embarqué, se sont se sont pris au jeu puis ont fait ces trucs là.

Mais je pense que le système autour, pour faciliter ça, ça a vraiment, vraiment marché. Il

[00:48:26] Alexe Martel: a même des gens qui allaient co étaient parmi les des gens qui faisaient des coworking. On prépare maintenant notre séquence peu du cabinet ensemble dans le salon vocal du disco, sans que nous on organise quoi que ce soit que moi, je check notre serveur d' disco.

C'était comme il y a huit personnes entré de dans le salon vocal. C'est

[00:48:42] Charles Davignon: que font elles,

[00:48:43] Alexe Martel: je sais pas, mais voilà. Puis c'est

[00:48:46] Charles Davignon: ça la plus grande valeur du cabinet. C'est parce que tu peux le vendre une chat. Voilà, c'est fini. Mais comme le fait que tout le monde ait pu étendre son réseau. Puis découvrir tant les clients enchant le cabinet, découvrir plein d'experts d experts, mais genre les bonnes de en tant que tel de centre.

Découvrir tellement c'est quand c'est le plus gros avantage du cabinet. C'est tu viens d'ouvrir ton réseau de contacts à pleine nouvelles personnes que t'aurais jamais connu parce qu'ils sont dans des communautés différentes que ça aurait pris. Just un hasard de. D'une pub ou d'un, je ne sais pas quoi d'une découverte, un homme pour, pour les voir, mais c'est comme, il

[00:49:17] Olivier Lambert: y avait beaucoup peine commun dans dans les gens qui faisaient les produits.

Donc quand tu ' dans les c'est juste des gros noms sont un peu blasés, pas vraiment de parler, mais quand c'est tout du monde qui veulent faire des réseautage, puis faire grossir qu'on n'aurait

[00:49:31] Alexe Martel: pas eu, sinon dans le lancement, les gens qui avaient. Ou et nous, c'est ça, on est, on a besoin de, on a besoin de cette espèce d'énergie.

Pourquoi

[00:49:40] Olivier Lambert: se dit nous? Moi, je suis pas de j, mais

[00:49:44] Alexe Martel: un peu. C'est pareil. C'est cette énergie là qui, quand tu fais tes premiers lancements, qui est ton info, est justement à cinq 700 zéro, deux zéro abonnés. Tu connais encore ton monde comme moi. Je suis nostalgique de ça. Toutes mes amis qui passent par cette étape profite tellement.

Et puis d'avoir l'énergie de ces gens là qui sont à cette étape là, puis pour qui c'était tellement excitant en soi, juste de participer au lancement, ça même motivé, des gens qui avaient plus d'expérience à même ça a amené une dose d'énergie

[00:50:15] Olivier Lambert: qu'on n'aurait pas eu sin. C'est déformateur pour les gens qui ont qui ont rarement eu l'occasion de faire des lancements parce que il y en a aussi là dedans que ce que j'ai remarqué que c'est, c'était leur premier produit aussi.

Il y a des gens qui n'avaient pas vraiment de produits premium

[00:50:26] Charles Davignon: de service.

[00:50:27] Olivier Lambert: On en avait dans cette situation. Là

[00:50:29] Alexe Martel: ça, ça m'a étonné la quantité de gens. Qui ont une pas pire communauté, bonne communauté, mais sur Instagram, soit on demandait aussi les abonnés à l'info lattre. Pis crime, aucun produit ne vend que du service, mais on fait toute cette création de contenu.

Là, je trouvai ça étonnant. Pis, je pense que pour ces gens là, le cabinet leur a aussi botté un peu les fesses pour qu'ils créent enfin quelque chose de

[00:50:54] Charles Davignon: se laisser à dire plusieurs fois. Et ça fait deux ans que je travaille sur ce petit produit là, je l'avais de côté parce qu'un petit produit, Paul, pas le lancement, a été de l'année qui va faire ton revenu de l'année, quoi que ce soit, un petit produit.

C'est un atout vraiment intéressant. Dans une stratégie marketing, ça peut payer des frais de deux, ça peut faire même chose, mais ce n'est pas le petit produit qui va faire que tu vas doubler ton chiffre d'affaires. Souvent, c'est le truc que tu par en avant, sauf que il y en a tellement que ça faisait ça fait six mois, ça fait un an, ça fait deux ans que je le sais, il faut que fasse produit.

Il est à moitié fait en train de mourir dans un cimetière sur un Google drive gauche. Je l'ai fini du monde. A trip.

[00:51:26] Olivier Lambert: Ça prenait un peu sur l'idée. C'est pas la petit produit qui va faire en sorte qu' soit dor ton chiffre d'affaires parce que peut être que les ventes du petit produit vont pas doubler ton chef d'affaire mais prend un tunnel de ventre.

Si un petit produit la du tunnel, non seulement ça va rembourser la peu, mais c'est la première exposition que le prospect a avec le type de service qui offre. Donc, si la qualité de ton petit produit et next level, il va dire, ok, je suis entre bonnes mains et ça va augmenter ta conversion dans

[00:51:52] Charles Davignon: 100

D'accord avec code qui pour vrai, c'est une recon conversation qu'on fait à la majorité de nos clients que nos clients qui ont des finance, c'est comme, ok en ça, marche, est ce qu'on est capable d' de prér des trucs, d'avoir un d'avoir des trucs. Mais je pense que pour la perspective de quelqu'un qui est en train de planifier ces prochains mois, qu'est ce que je prioris?

D'un point de vue de j'ai né dans le guidon, puis je ne sais pas exactement ce que je fais. C'est le petit produit qui a même si c'est extrêmement stratégique, même si nous autres, on en a, je sais qu'à Alex maintenant c'est rendu une grosse partie de ta business.

[00:52:23] Alexe Martel: Honnêtement, j'aime le fait que quand tu cries quelque chose de petit, ça te cré une contrainte.

Tu ne peux pas demander trop d'efforts à quelqu'un parce que un petit produit, ça va être plus court. Ça va être plus petit. Le résultat, il faut qu'il soit beaucoup plus spécifique. Moi ça, ça canalise mon énergie. Pis, j'aime comme j'ai des clients qui me suivent depuis très longtemps. J'ai plus de récurrence quand j'ai plusieurs petites offres, ça amène vraiment un moins genre dynamisme un peu dans mon parcours qui c'est vraiment le fun.

Moi, c'est ce que je préfère, mais mes formations en bas de 500 pi, puis mes petits produits comme c'est

[00:52:58] Olivier Lambert: aussi, on parle d, rembourser les les dépenses de publicité, mais il y a tellement probablement de. De produits de formation en ligne, des gens qui ont essayé de se lancer, qui ont assez peut être publicité Facebook, la publicité sur passe principalement sur Facebook.

On va comment puis ça n'a pas été rentable. Il y a énormément de gens qui ont été essayé faire des campagnes que ça. Rien donné sont pas capables d'être profitables sur Facebook dans le temps. Ce n'est pas mal plus facile maintenant, c'est beaucoup plus difficile et le fait d'insérer un petit produit dans ce tunnel de vente là fait en sorte que maintenant tu es capable de monétiser ton gros produit premium qui va te permettre de faire des ventes parce que maintenant tu quelque chose de plus pour monétiser ton tunnel à ça, des nouveaux produits à proposer aux gens, moi tous ceux qui écoutent qui peut être, qui en un certain qui ont essayé avec un produit et que ça n'a pas fonctionné pour différentes raisons.

À. C'est pour que ça n'a pas fonctionné. C'est juste qui manquait d'ingrédients. Souvent dans ta table, ta table d'autre était incomplète et manquait l'entrée. Tu n'avais pas de dessert. Tu avais juste un plan principal. Pis, c'est même pas l'accompagnement. C'est un verre d'eau rajoute de quoi,

[00:54:09] Charles Davignon: de quoi de quoier, mais c'est vrai que c'est pas bonne table.

On s

[00:54:13] Olivier Lambert: va manger au resto après, je pense que ça paraît,

[00:54:17] Charles Davignon: mais je quelque chose à ça aussi parce qu'il n'y a pas juste. Et aussi, je pense aujourd'hui du fait peut être que a plus de formation du fait que c'est plus difficile. J'ai l'impression que peut être les cycles d'achat sont plus longs. Les gens réfléchissent plus avant d'acheter ou en tout cas, il y a une partie des gens dans tous les cas qui réfléchissent avant d'acheter nous, dans le cas de nos services d'agence, c'est comme le cas extrême parce que c'est des services quand même chers qui vont souvent les rejoindre des.

Personne qui investissent déjà un peu un peu, mais pour qui ça va être comme un gros step de passer de chemin met deux mille trois mille un peu. Je met 10, 15, 20 zéro par mois. C'est comme des grosse stepp nous na d'achat. C'est comme de en six mois. Puis il y a 24 mois en six mois, puis deux ans de quelqu'un nous découvre à quelqu'un signe un mandat avec nous.

Bon, je ne pense pas que c'est le cas de toutes les entreprises, mais si on sait que d'achat, c'est six mois pour ta formation en ligne, un peu plus high été ou un programme, quelque chose que c'est plusieurs milliers de dollars. Puis les gens découvrent et réfléchissent, regarde un, deux webinar achètent pas tout de suite.

C'est long entre, je paye pour acquérir ce contact là à cette personne là achète, puis ça fait que ça marche. C'est rentable, sauf que c'est six mois en ton investissement en retour, c'est long quand même de cash flow qu'il faut que tu aille pour que ta stratégie fonctionne. C'est, il faut que je paye aujourd'hui mon lit de cinq, puis quà un moment donné.

Il va acheter pour 10 pour 15 en moyenne, mais que c'est six mois entre oui, je fais peut être un retour de fois deux fois trois. Mais là, il faut que je finance toutes mes six prochains mois avec rien. Je ne peux pas augmenter mon budget parce que mes résultats vont payer dans six mois, etc. Le petit produit ou une forme de service d'entrée, quoi que ce soit, ça a bien combler ça aussi ou est ce que peut être que ça paye.

Pas tout à peu peut être ça pay juste 20 ou 30 %. Mais si c'est déjà ça de gagner un retour immédiat, c'est pour ça qu'on s'est mis à faire des formations en ligne aussi. C'est long avant, quelqu'un devienne une client pour nos services. On a de la place pour une quinzaine d'entreprises. Max, pis en ce moment, on en a 13 en tout temps.

On n'a pas pas beaucoup de places. De toute façon, on a des milliers de personnes sont a qui nous suivent, puis des centaines de personnes sur nos réseaux sociaux. On n'a pas les plus grosses communautés, mais on a quand même plus de monde que ce qui pourrait être le client off feront quelque chose qui va être vraiment utile pour eux qui auront pas attendre deux ans avant d'y penser

[00:56:13] Olivier Lambert: définitivement, je pense que toutes les toutes les gens aussi ont commun et en tout temps les contraintes de temps, à savoir comme en ce moment.

C'est là dessus que je travaille. Dans temps dans trois mois, je être rendu, mais c'est d'offrir quelque chose à cette personne là. Ça permet d'avoir un test du type de service qui est offre avant même comme ça, il peut comme te valider à l'avance. Je pense surtout de l'agence, parce que c'est ce que tu fais là, mais au modèle de formation c, quelque chose qui est intéressant, il y a trop formation et beaucoup de gens qui font des formations, c'est plus comme que c'était dans le temps.

C'est plus difficile vendre ça un petit peu. Ça reste encore dans thématique du cabinet, mais je suis quand même curieux d'avoir ton opinion. Alex à face à ça parce que bon vendu des formations chères, des formations pas chère, un livre qui dirait a un zéro un autre livre qui dit enlève un

[00:57:02] Charles Davignon: formation.

[00:57:06] Olivier Lambert: C'est quoi God feeling face à l'état du marché de la formation en ligne en francophone?

[00:57:11] Alexe Martel: Certains que c'est plus difficile d'avant, je pense que c'est naturel parce que c'est ça, le marché est plus sophistiqué. Il y a plus de compétitions. Surtout, ça dépend des domaines. Il y a des domaines des clients.

Ils font des défis cinq de jour sur leur sujet. Vraiment? Niché qu'il n'y a personne qui fait de formation en ligne, leur lit de leur coûte pas cher pis. Ils font de l'argent comme on en faisait il y a quatre ans, pilotes et comme. Mais peut être que je devrais commencer à faire des formations sur la poterie.

Je dis n'importe quoi, mais bref, c'est quand même intéressant, ça dépend. Le niveau de sophistication du marché va beaucoup changer d'un domaine à l'autre. Mais en marketing en business, quand tu parle de business de marketing de sujets reliés, il y a énormément de créateurs de contenu. Il y a foule de formations en ligne avant.

C'est normal que ce soit plus difficile qu'avant. Vendre ce que ça fait pour moi, c'est que ça écrème un peu le marché dans la mesure qu'il y a des il y a des produits qui peut être avant se vendaient, mais qui n étaient peu d'une très grande qualité, puis que le marketing faisait un peu dur, puis que ça pouvait marcher quand même parce que Facebook, c'était une machine que tu mettais de l'argent, puis en sortait plus au bout.

Maintenant, c'est plus, ça faut qu'on optimise nos choses. Il y a plus une réflexion à avoir, mais ça ne veut pas dire que le marché est nécessairement. Hostile non plus moi, j'ai encore des bons résultats. Pourquoi? Parce que je teste des nouvelles choses tout le temps. Je ne suis pas resté, je suis pas resté à faire toujours la même affaire.

Je pense que le fait justement d'avoir plusieurs offres différentes à plusieurs prix différents. Ça permet de s'adapter à différents types de clientèle, puis à rester rent table d'être plus pérenne. Moi, je suis triple sur mes petits produits. J'ai des bombes pour toutes. C'est comme, c'est le party de la vente.

Mon affaire, il n'y a pas une info à ou je n'ai pas un hyper lien pour vendre quelque chose. Pis, je trouve ça génial. Puis ou voilà. Oui, ça a changé. Oui, c'est peut être un peu plus difficile, mais quelqu'un qui a une tête sur les épaules puis qui apprend ses fondamentaux, la persuasion, etc, etc. Qui comprend comment ça fonctionne, va quand même être capable d'avoir des bons résultats.

Ce n'est pas vrai non plus qu'on est dans une apocalypse de la business en ligne.

[00:59:05] Olivier Lambert: On

[00:59:05] Alexe Martel: est juste dans

[00:59:06] Olivier Lambert: un. Je pense que ce que je ressort de ça, c'est que parce que je me mets à place la personne qui a encore zéro formation, on n'a jamais vendu information, puis à commence. Puis je vais faire des cours en ligne, des produits d'information en ligne à cette personne là, je pense qu'il faut qu'elle prenne des niches qui sont peut être un petit peu moins.

Cliché un sens marketing entrepreneuriat. On commence à moins vraiment un pédé incroyable,

[00:59:31] Alexe Martel: super original. C'est faut que

[00:59:35] Olivier Lambert: même dans l'entrepreneuriat, ce que j'ai remarqué justement des curiosités, il n'y avait pas vraiment de formation de, j'en part en business en ligne. C'était plus comme, hey, voici une trick Google sheet qui va te permettre d'économiser 15 secondes par fois que tu te connecte à cette affaire-là, puis après un an, tu vas avoir sauvé une journée genre, c'est des trucs vraiment nichés, des trucs, des templates sur nos Ocean, des des hack, pas des hacks, mais comme des des des trucs dans ce genre là des raccourcis exacts, même dans la business, même dans le domaine général de business, il est quand même un peu rendu à cause que c'est rendu sur comme peuplée, comme comme niche.

Les gens ont été obligés de vraiment aller dans des choses qui étaient très spécifiques parce que sinon, On a déjà vu ça 50 fois. Et puis on est un peu

[01:00:23] Alexe Martel: absolument même d'un point de vue, c'est moi, j'ai une matrice. J'utilise tout le temps l, mais de l'économie comportementale que c'est comme, c'est quoi les bénéfices qui vendent le plus dans la vie?

La matrice n'est pas compliquée, une ligne que c'est le temps, une ligne que c'est. L'abstrait le concret, puis un humain plus tendance à passer à l'action quand il est capable de voir que son action va avoir un bénéfice qui est rapide et concret que c'est sûr. C'est pour ça qu'on a de la misère avant des assurances, puis de la prévention en vie se passe ton cerveau.

Il ne veut pas rien faire pour ça. C'est comme, je ne sais pas à quoi ça sert d'économiser cet argent là. C'est vraiment flou dans ma tête, puis en plus, mon dieu, et ça va être vraiment long avant que ça serve à de quoi je n'ai pas le goût de le faire. Le cerveau humain fonctionne comme ça. Pis moi, ce que j'ai remarqué, c'est qu'avant c'était facile de vendre des produits qui avaient des bénéfices dans le cadran en rouge et le cadran que c'est difficile.

Des produits qui avaient des bénéfices abstraits long dans le temps porte toi porte à business en ligne et réussit sur internet. C'est tellement vague, genre en des personn, on voyait des trucs, genre deviens la meilleure version de toi même. Puis le monde a acheté seul. C'est tellement vague x ou puis maintenant les bénéfices vagues abstraits comme ça, ça vend vraiment moins bien.

Il faut, il faut être capable d'aller chercher. C'est quoi les bénéfices de mon offre qui sont concrets? Qui pis qu'on peut donner une. Une attente de durée de temps, puis moi pour avoir testé plusieurs produits. Je vois tellement la différence dans me taux de conversion et mon premier petit produit, c'était mon attirail de l'apprenti, copier qui est comme plein d'outils que j'avais que j'ai ramas enfant, c'est flou.

Tu sais, n'est pas exactement. C'est quoi le résultat que tu vas obtenir de ça? Il n'y a pas de temps, puis mon produit que le mieux converti c'est lance en en info letre qui c'est comme la promesse. C'est si t'achètes ça, ton info latre va être lancé dans les 10 prochains jours. J'ai converti 1 % de l'ensemble des abonnés à ma liste avec cette offre qui je tapotait ça a vendu six fois plus que l'attirail.

Pourquoi? Parce que le bénéfice est beaucoup plus concret. Beaucoup les gens peuvent se l'imaginer se le représenter. Il y a une notion de tues, pas obligé de toi, nécessairement te positionner te nicher, mais au moins si chaque produit que vin est présenté de cette façon là, puis que tu vas chercher le concret, le temps, ça va être beaucoup facile d'avoir des vrais résultats.

[01:02:27] Olivier Lambert: J'aime ça. J'aime, je pense que si on peut faire un parallèle avec le monde du podcast, moi maintenant avec mon entreprise, les bankers tout mon temps maintenant, choqué,

c'est ça. J'ai énormément le client qui veulent justement se lancer un qui pas une direction très, très claire et très nichée justement. Qu'est ce qui va l'offrir comme comme expérience de podcast à leur audience et. C'est exactement la même chose qui est en train de se produire dans le marché du podcast.

Avant, il y avait aucun podcast. Il y en avait, il y avait celui de Mike Ward eu celui du gars de d'occupation double. Il y avait, il y avait celui ton chum c en cinéma,

[01:03:08] Alexe Martel: 16 ans,

[01:03:10] Olivier Lambert: c'est ça, euh,

[01:03:12] Alexe Martel: à faire ça

[01:03:12] Olivier Lambert: au Québec, les gens, ça va même pas encore comment faire pour écouter des podcasts. Mais je me rappelais dans chaque info que je faisais un épisode que j'explique aux gens clic dans l'ordre de l'application inscrit au faits, pas pas bref, ça n'avait pas très très bien.

Maintenant tout le monde et sa grand mère ont leur podcast. Donc, pour être capable d'aller chercher la la traction, pas de l'attraction, mais de l'AT, traction comme en à. Ça prend vraiment une proposition de valeur qui est comme que tu viens d'expliquer concrète, bien défini, et non seulement à travers la thématique générale du podcast, mais chaque épisode doit avoir quelque chose de pertinent à partager.

C'est une des raisons d. Pourquoi ça fait tellement longtemps? Je pas faire d'épisode de podcast. C'est parce que j'aime pas ce faire du contenu pour faire du contenu connaissant un peu moi, faire un info pour faire un info, ça me gosse pour ça que bon toi, tu en fais beaucoup plus souvent que moi. Puis je devrais imiter parce que mes statistiques de Google post master sont vraiment

[01:04:12] Charles Davignon: ou mais aussi ça très automatique,

[01:04:16] Olivier Lambert: pas vrai?

Pas vrai? Il fonctionne le lien. Ok, c'est faut que tu sois patient. La page des abonnements prend deux secondes à charger. Il y a des gens qui attendent. Bon ok, mais comme aujourd'hui, qu'est ce qu'on partage? Ce n'est pas des, c'est pas les conseils qui sont vague de gens. Comment vendre un produit en ligne?

C'est un retour d'expérience très concret définie. Il n y a personne d'autre qui pourrait partager ces informations que vous deux présentement. C'est pour ça que je pensais que ça val la peine. On s'assoit qu'on en parle, qu'on partage un peu le behind de signes de ce projet là à de un oui à tous ceux qui étaient qui se sont intéressés aux produits qui ont été vendus.

C'est intéressant pour de voir un peu comment ça se passe en arrière, mais de ceux qui font ce genre de produits. Là aussi, c'est d'avoir ok, qu'est ce que ça a donné? Et ceux qui ont refusé de participer à ton truc, ça va leur donner occasion de se dire j'aurais peut être dû avoir tous les bénéfices qui étaient offerts au.

Au bande de liste. Puis moi, j'ai plein de monde qui se sont inscrits à ma formation bitcoin à cause de ça. J'ai vrai, vraiment été surpris parce que mon produit en anglais, on dite, oui, j'étais parler de finances de crypto monnaie. C'était vraiment,

[01:05:35] Alexe Martel: suis en gauche, un peu comme celui, mais de dessin avait une coupe d'affaires un peu bizarre.

[01:05:40] Olivier Lambert: J'ai été surpris. Puis c'est vraiment des gens que je ne me serais pas attendu qui soient intéressés nécessairement par bitcoin. Ça, ça faisait quoi? Ça faisait que les gens n'ont pas juste à acheter ça pour la mettre de côté et. Ils ont vraiment appelé le temps d'aller regarder les trucs mais de s'inscrire,

[01:05:56] Alexe Martel: je pense.

C'est vraiment intéressant pour les gens qui nous écoutent puis qui pensent faire un bon moi. J'avais acheté une formation américaine sur les bandeaux pour

[01:06:04] Olivier Lambert: voir

[01:06:05] Alexe Martel: vraiment d'une fille qui s'appelle dame ajo, qui ne vend plus. Malheureusement, cette formation là maintenant, mais qui est. Extraordinaire là, je l'aime beaucoup très geek et elle est là, accompagnée des dizaines et des dizaines et des dizaines de clients qui ont fait des bande.

Pis, une des stas qui est la sortie de ses clients qui ont fait des bande, c'est que quand tu donne une date limite plus courte pour que les gens récupèrent les produits, donc nous c'est 60 jours, les gens vont chercher 10 fois plus de lit que quand un ça, c'est sûr que et nous, les gens, ils vont recevoir des rappels et reçoivent déjà des rappels.

On a aussi quelques se se connectent pas sur la plateforme pendant 14 jours. Salut d'acheter. T'as pas encore été checker des produits du cabinet? Qu'est ce qui se passe? Tout ça? C'est automatisé en bake, parce qu'on voulait maximiser les lits que les gens peuvent aller chercher. Et puis, dépendamment à quel point on produit niché pon niché.

On a des gens qui sont allés chercher de 100 à 600 ca inscrits à leur petits produits. Pis maintenant,

[01:06:58] Charles Davignon: dernière

[01:06:58] Alexe Martel: jusqu'à maintenant au dernière,

[01:07:00] Charles Davignon: ça fasse un gi aussi ou est ce que le novembre vari arrive. C'est le 25 novembre, la dernière journée ou pour pour prendre des produits, on a des email de rappel à ce moment là, on s'attend à ce que ça.

Ça a converti sur des l à ce moment là parce que le monde, j'ai vraiment fait le tour. Je aller faire un dernier petit check up, etc. C'est sûr que ça va, ça va aider. Puis pour nous, c'était comme le, c'est la valeur. Le cadeau entre guillemets, c'est pas un cadeau parce que c'est dans cette collaboration là, mais la valeur la plus importante qu'on va amener à tous les bonnes de l, c'est comme on s'en fout que tu vendu beaucoup peu beaucoup à la fin quand est capable avec un bon produit, avec un bon titre, avec un bon visuel ou whatever d'aller chercher toutes ces nouvelles personnes là qui découvrent puis évidemment que sur les 600 personnes qui prennent un produit, c'est pas 600 personnes qui vont devenir clients.

Mais ça fait quand même 600 personnes de plus qui viennent d'entrer dans ton univers pour. Entre guillemets, rien sur en échange de ce produit là, peu en 600 personnes en publicité, serait vraiment cher à aller chercher ça et surtout qualifiés comme ça qui ont acheté, qui ont choisi activement ensuite de prendre ton produit.

Ce n'est pas les les 1200 1300 personnes qui ont acheté le cabinet qui ont. Tout automatiquement forcé dans tous les produits. Ça ne serait pas réaliste, non?

[01:08:09] Alexe Martel: Mais je trouve ça intéressant. Je trouve que pour les personnes comme toi qui ont des audiences qui différaient beaucoup des personnes, parce qu'on avait énormément de femmes aussi beaucoup d'audiences de femmes, c'est sûr que tu aurais jamais été pas mal de femmes dont la formation de bitcoin,

[01:08:22] Olivier Lambert: ce pas nécessairement la chose qui, non,

[01:08:26] Alexe Martel: c'est le fun, parce que tu vas amener

[01:08:28] Olivier Lambert: des

[01:08:28] Charles Davignon: nouveaux cercles

[01:08:29] Alexe Martel: exactement.

Genre, ça sort de ton cercle habituel. Puis tu vas faire découvrir genre ce que tu as créé à plein de gens qui l'auraient pas vu, sinon puis moi, c'est ça, mon des gros band. Tellement. Je découvre des affaires que je m'imaginais, même pas que j'aimais ça, genre je comme, mais ça valait la peine, finalement de moins de télécharger ce truc.

Finalement que voilà, c'est ça l'expérience que je voulais créer pour le monde. Je voulais qui moins

[01:08:51] Charles Davignon: que les découvertes des curiosités de base, ça devait s'appeler la grande galerie des raccourcis. D'où tantôt qu'on parle tout ça, mais dans le design, dans le bras, c'est aller plus sur un style de cabinet de curiosité pour vrai.

C'est. Je trouve que ça cadre encore mieux avec cet effet là, justement parce que des raccourcis, c'est justement ce tru là plus ha, rapide. Résultats rapides. C'est bien, mais il y a tellement aussi le côté de je connais pas ça. Le bitcoin, ça m'intéresse. Je me serais pas intéressé à ça naturellement pour payer une formation, mais là, je l'ai dans le cabinet, m.

Aller regarder ce que c'est pour vrai. Aller m'intéresser à ce que olivier a me dire sur le bitcoin. Ça fait tellement de belles découvertes que c'est ça le retour le plus le plus important, je pense pour le monde, c'est découverte

[01:09:35] Olivier Lambert: parce que c'est que maintenant, j, Rob olivier, qui qui engage avec les gens qui posent des questions en lien avec avec les cours?

Oui. Puis là, j'ai des gens qui sont comme tombé en amour avec robolivier

[01:09:45] Charles Davignon: comme moi ou

[01:09:46] Olivier Lambert: ça comme c'est quand je peux venir ici, je pose une question, puis genre Rob, olivier c, comme c'est, on s'entend, mais qu'est ce qui est? Vraiment intéressant ça, ça ne serait pas être quelque chose qui serait cool à mettre dans un cerveau d'escorte.

C'est quand un chat bot dans un dans un groupe chat ou ce que les autres personnes participent à la conversation, puis peuvent ta robot comme ça. C'est comme qu'on est en train d'avoir maintenant un débat sur on a comme notre qui est comme dire c'est quoi cette affaire là? Et bien sûr, voici la réponse à votre question que vous avez continuer la conversation.

Bref, je pense que l'expérience que tu as voulu donner avec aux gens, autant aux bande qu'aux gens qui ont acheté le bundle à répond aux attentes. Ça a été vraiment cool. Autant la perspective c'est ça de participer. Moi, je fais sur la plage, ça donc je me suis peut être moins impliqué que ce que j'aurais aimé m'impliquer à ceci étant dit, je mon chapeau à vous deux à félicitation pour ce beau succès.

Je crois que des gens ont été capables d'aller chercher un peu de valeur en écoutant ce merveilleux épisode de podcast avant qu'on se laisse à ce que vous avez peut être. Des informations particulières à partager comment, si

[01:10:51] Alexe Martel: ça te donné le goût, de créer un petit produit, une excellente formation sur les petits pod,

[01:10:58] Charles Davignon: aller écrire à gens, répondre une info, être ça pour le féliciter pour

[01:11:03] Alexe Martel: pour aider son ses films de spam.

Oui,

[01:11:06] Olivier Lambert: c'est très important. Merci guys. Un effort de groupe.

[01:11:12] Charles Davignon: Si ça vous tend plus d'être abonné à une info dés abonnez vous, mais portez la pas en se spam, sauf si vous êtes vraiment pas inscrit, puis que c'est vraiment un spam parce que ça nuit vraiment la livraison des mails

[01:11:22] Olivier Lambert: fâché contre Google. Mais ça, ça va être une conversation pour un autre jour.

C'est très brillant. Ce que tu fait d'ailleurs de mettre en lien des abonnements en haut. Quand j'ai vu ça, je comme c. Qu'est ce qui a fait complètement folle? Puis j'ai me suis lagué dans mon post. J'ai fait comme à i understand. Bref, ça. C'était un nouvel épisode de scratch marketing. Domination mondiale.

Attendez vous pas en avoir un autre à semaine prochaine. Ça peut prendre un bout. Ça peut prendre. Très longtemps avant d'avoir un nouveau épisode de podcast. Désolé, plus

[01:11:49] Charles Davignon: c'est long avant le prochain,

[01:11:50] Olivier Lambert: plus

[01:11:50] Charles Davignon: celui ci prend de la valeur.

[01:11:52] Olivier Lambert: On se verra l'année prochaine.